Cher(e)s ami(e)s,
Quelle soirée avons-nous vécue ce jeudi 03 avril au théâtre de La Madeleine !
La pièce de Léonore Confino, "Les uns sur les autres", ne vous a pas laissé indifférent, c'est le moins que l'on puisse dire.
Certains ont été "choqués"par certaines scènes ou certains propos, ou "déstabilisés" par le traitement si particulier de l'auteur de cette terrible maladie qu'est l'anorexie, d'autres ont été emballés par le réalisme des situations ou par la fidèle retranscription du langage des deux jeunes.
En fait, jamais une pièce programmée par notre association n'a suscité un tel débat.
Il y a eu ensuite notre traditionnelle "rencontre", bien mouvementée cette fois-ci !
Alors que nous attendions l'auteure et le metteur en scène, nous avons eu la belle surprise de voir arriver l'intégralité de la troupe.
Cependant, les comédiens nous ayant précisé d'entrée qu'ils étaient tous pressés, les questions ont du être posées de façon concises et rapides !
Nous sommes tout de même restés une vingtaine de minutes avec Agnès Jaoui, Pierre Vial, Olivier Faliez, Benjalin Witt et Marie Petiot, le temps d'aborder avec eux les trois grands thème de la pièce : la famille (est-elle à la dérive ou pas ?), la mère (ressent-elle ou non un sentiment de culpabilité ?) et enfin l'adolescence.
Enfin, le "coup de théâtre final" : l'arrivée de Léonore Confino et de Catherine Schaub qui nous ont expliqué leur vision de la pièce et leur façon si personnelle de collaborer.
Comme vous le savez, le débat continue sur le blog, c'est tout l'intérêt de cet outil interactif.
Aussi, je vous invite, d'une part, à noter la pièce de Léonore Confino (vous avez jusqu'au samedi 03 mai pour vous exprimer), et, d'autre part, à me faire parvenir vos commentaires sur notre soirée au Théâtre de la Madeleine soit en les publiant directement en bas de ce message soit en répondant au dernier mail que vous avez reçu.
Les photos, l'extrait vidéo et le podcast seront mis en ligne dans les prochains jours.
En espérant de nombreux retours de votre part.
Bien amicalement.
Bertrand HIRAUX.
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